Chorégraphies

Igor Piovano et Kathryn Bradney

Danseurs

Julie Lamby, Pauline Schopfer, Mina Schürer, Pasquale Alberico, Yann Dorsaz

Centre Culturel des Terreaux

Du 14 au 17 octobre 2021

CRÉATION COSTUMES Luciana Reolon

CRÉATION LUMIÉRES Christian Yerly

CRÉATION AFFICHE Diane Zanni

PHOTOS Gregory Batardon

DIRECTEUR TECHNIQUE Alain Engler

CRÉATION DVD
Igokat Film Productions

On ne se rend compte de l’importance des choses qu’après les avoir perdues. Quelle joie alors de revivre, recommencer tout, redécouvrir et se réinventer ! Dansons la vie non pas pour oublier, mais pour ne pas oublier que le bonheur est devant nous dans les petites choses ! Marcher librement, respirer et profiter de l’instant présent. Un Hymne à la Joie de tous les pays confondus. De Jacques Brel à Gilbert Bécaud, en passant par l’unique Tarantelle Italienne,sans oublier entre autres un Yodel chantant.

Yann, un savant fou ou… juste un fou ?
Dans une société en perte de sécurité, aux principes chamboulés et mis à rude épreuve, il va se remettre en question et choisir le bonheur et la joie, de jour en jour.

Tout se déroule “normalement” ; une journée comme les autres.
Yann se promène dans sa chambre et joue avec ses trois automates, Julie, Pauline et Mina.
Sont-elles d’ailleurs des automates ou des personnes réelles ?

Pasquale survient, découvrant cette pièce magique, ses miroirs, ses rideaux et trois magnifiques filles.
Mais pourquoi donc sont-elles masquées ?
Un appareil photo et le tour est joué : il s’amuse à les immortaliser dans leurs poses parfaites.
Et pourquoi ne pas leur enlever ces masques qui cachent leur beauté ?

Les trois automates prennent soudain vie.
Le monde en est bouleversé.

Yann observe en cachette le bal effréné qui se déroule devant ses yeux.
Il doit réagir; il ne peut pas permettre cela.
L’une après l’autre, il arrive à nouveau à masquer ses trois filles.

Oui ! Elles sont à lui et il peut les contrôler grâce à ces masques magiques.
Pasquale cherche à résister, mais rien n’y fait face à l’obstination craintive d’Yann.

Et voilà! Tout rentre dans l’ordre, comme avant.
Yann dirige à nouveau son orchestre d’automates et semble heureux, si heureux.

Vraiment ? Les paroles de l’Hymne à la Joie résonnent en boucle dans sa tête. 

Or, il doit s’avouer bien seul: vivre une vie si réglée, sans risques et sans amis, n’en vaut décidément pas la peine.
Il libère enfin ses automates qui, non sans rancune, l’acceptent.
Tous peuvent finalement danser et s’amuser vraiment ensemble, sans limitations, ni adversité.

On ne saurait vivre heureux, à l’écart, sans prise de risque.

Le bonheur et la joie ne sont pas juste un but ultime, mais un mode de vie, un engagement à reconduire de jour en jour ; seul moyen d’atteindre une vie pleine.

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